BIMESTRIELS  ET  AEROPHOTO

 

Des articles parus dans la même période, mais très différents dans leur contenu. Le plus beau et le plus raccoleur n'est pas celui qui nous intéresse le plus!

 

DETECTION PASSION  

Dans le n°48 de septembre-octobre 2003 un article de 6 pages:
La photographie aérienne
par cerf-volant et ballon captif.

D'emblée, l'auteur a borné son sujet, et c'est très bien ainsi. Il y parle aussi des avions et hélocoptères radio-commandés. Cet article est une excellente synthèse, il est bien documenté techniquement, et détaillé de façon très appropriée. Avec ces informations, vous serez tenté par cette technique, à la portée de toutes les bourses. Tout y est pour comprendre et pour aller chercher ailleurs les informations complémentaires. A lire si vous êtes intéressés, car vous y apprendrez beaucoup.

Bravo pour le meilleur article sur le sujet depuis celui de Cyclope n° 3 en 1990! Cette revue a des moyens et un tirage limité, mais nous, on aime et je recommande.

En prime , un autre petit article de 2 pages:

La prise de vue infrarouge

Quand celui qui pratique nous explique, tout a un autre poids. Il y a là plus d'infos que dans des revues photos qui se positionnent en tant que spécialistes. Il n'y a pas d'images spectaculaires, mais ce n'est pas le but de cette revue, alors, félicitations!

 

CHASSEUR D'IMAGES
 
Dans le n° 256 de août-septembre 2003, un article de 12 pages:
Toutes les ficelles de la photo vue d'en haut ..
 
Des images superbes, très belles, revue photo oblige! A parcourir uniquement pour cela. Les petits encadrés "techniques" sont des lieux communs et n'apportent rien de nouveau, du moins, au photographe amateur moyen qui se passionne pour la photo au point d'acheter ce magazine pour apprendre un peu plus que ce qu'il trouve dans ses livres de base. Un texte presque pauvre techniquement, dommage. Avec un titre aussi raccoleur que " Toutes les ficelles..." le lecteur crédule que nous sommes s'attendait à mieux. De surcroît, les aérophotographes cerf-volistes et adeptes du ballon ou du dirigeable captif attendaient un petit mot sur ces activités qui ne tiennent qu'à une ficelle. Pourtant, nous avons bien regardé et fouillé dans tous les recoins: absolument rien. Rien non plus pour la photo à la perche. L'auteur, le directeur de la rédaction lui-même, connaît ces activités, et il avait reçu de plusieurs d'entre-nous des images et de la documentation. Bien sûr, nous ne sommes qu'amateurs, mais un professionnel comme Nicolas Chorier a de quoi satisfaire le rédac'chef le plus exigeant.
Bon, vous avez compris, cet article a des airs d'exhaustivité, et il ne l'est pas. C'est regrettable et ça nous fâche. Se mettre dans le sillage de Plisson et Arthus-Bertrand est certainement commercialement porteur. Mais est-ce suffisant ? Pas pour nous!
 
Un second article de 6 pages:
Un appareil sous une aile
Là, rien à redire, c'est bien, ça nous plaît; et c'est tout.